Commentdire oui a changĂ© ma vie - Une annĂ©e pour s'ouvrir aux autres et Ă  soi-mĂȘme de Shonda Rhimes - Collection Ta vie en mieux ! - Livraison gratuite Ă  0,01€ dĂšs 35€ d'achat - Librairie Decitre votre prochain livre est lĂ  Pasde question pour le moment 2. Ou choisissez une question existante. Vous ne savez pas quoi demander au test, nous vous proposons de connaĂźtre votre futur proche en choisissant une de nos questions populaires pour avoir votre rĂ©ponse par Oui ou Non. Les rĂ©sultats du test ou Oracle, sont Ă  prendre comme un conseil, veuillez Ă  ne pas poser de questions qui peuvent Le"non" de la phase d'opposition de l'enfant est une façon de s'opposer Ă  ses parents et donc de se distinguer, d'affirmer ses dĂ©sirs. D'ailleurs, en mĂȘme temps qu'il dit "non", l'enfant Commentdire oui a changĂ© ma vie ! Une annĂ©e pour s'ouvrir aux autres et Ă  soi-mĂȘme Shonda Rhimes - Collection Les petits collectors (0 avis) Donner votre avis 320 pages, parution le 03/01/2018 Livre papier 6 ,90 € Indisponible RĂ©sumĂ© Lefait d’avoir rĂ©alisĂ© cette chose a changĂ© ma vie! par Gabriel Tellier. Annonce. C’est lorsque vous commencez Ă  perdre des gens autour de vous, que vous rĂ©alisez vraiment que votre vie commence pour de vrai, qu’il s’installe en vous une urgence de vivre. Cette grande rĂ©alisation a changĂ© ma façon de voir la vie. Vay Tiền Nhanh Chỉ Cáș§n Cmnd Nợ Xáș„u. publiĂ© le 30 dĂ©cembre 2011 Ă  10h37, mis Ă  jour le 26 dĂ©cembre 2017 Ă  16h17 Vous envisagez de changer de rĂ©gion pour trouver un nouveau travail ou vous ĂȘtes mutĂ© prochainement ? Ce changement de vie ne doit pas ĂȘtre pris Ă  la lĂ©gĂšre et doit se prĂ©parer bien Ă  l’avance, un peu comme une expatriation. Et la premiĂšre chose Ă  prendre en compte, c’est l’impact de ce dĂ©mĂ©nagement sur votre vie personnelle et familiale. Surtout si vous ĂȘtes en couple ou que vous avez des enfants. Avant de dire oui pensez projet de vie et coĂ»t de la vie ! Avant de dĂ©bouler dans le bureau de la DRH pour signer votre dĂ©part, prenez le temps de penser Ă  votre projet de vie et pas seulement Ă  votre carriĂšre. En ville, Ă  la campagne, en bord de mer, Ă  la montagne quel que soit l’endroit oĂč vous souhaitez vous installer, la premiĂšre chose Ă  faire quand une opportunitĂ© se prĂ©sente dans une autre rĂ©gion ou que vous souhaitez vous installer quelque part, c’est d’aller sur place avant de prendre une dĂ©cision. Pour un week-end ou en vacances, histoire de prendre la tempĂ©rature, dĂ©couvrir la ville, son environnement. Allez-y sans idĂ©e prĂ©conçue ou clichĂ© en tĂȘte et renseignez-vous aussi sur le marchĂ© de l’emploi pour votre conjointe. Assurez-vous Ă©galement que vous ne cherchez pas Ă  fuir une situation ou un problĂšme non rĂ©solu une fuite en avant dans une nouvelle rĂ©gion ne rĂšglerait rien ! Il faut que cette nouvelle aventure professionnelle soit le projet d’une vie. Par ailleurs, nombreux sont ceux qui font le choix d’un dĂ©part pour diminuer leur train de vie. Bien sĂ»r, Paris restera toujours la ville la plus chĂšre de l’Hexagone, mais il vous faudra bien Ă©tudier le coĂ»t de la vie lĂ  oĂč vous souhaitez vous implanter. En effet, d’une ville Ă  l’autre, les prix de l’immobilier fluctuent beaucoup. Une mutation professionnelle ou un changement de rĂ©gion implique un nouveau logement. Renseignez-vous sur les prix de l’immobilier pour vĂ©rifier l’adĂ©quation entre niveau de vie souhaitĂ© et le salaire proposé  Quitte Ă  nĂ©gocier un peu le salaire ! Dans le cas d’une proposition d’embauche, pensez aussi Ă  vous renseigner sur les avantages proposĂ©s par votre futur employeur 1% logement Loca-Pass ou Mobili-Pass, aide au dĂ©mĂ©nagement, congĂ©s exceptionnels pour vous installer, etc. Sans oublier les aides du service public de l’emploi si vous ĂȘtes inscrit comme demandeur d’emploi. Bien souvent on peut bĂ©nĂ©ficier d’une aide Ă  la mobilitĂ© prise de tout ou en partie de vos frais de dĂ©placement, de repas, et d’hĂ©bergement en fonction de la distance, du type de contrat et de sa durĂ©e. Pendant la pĂ©riode d’essai logement temporaire, enquĂȘte de terrain, nouveaux amis et aller-retours en famille Il est prĂ©fĂ©rable de ne pas partir dĂ©finitivement, et de procĂ©der par Ă©tapes. Optez pour un logement temporaire le temps de la pĂ©riode d’essai, on ne sait jamais ! Le poste peut ne pas vous convenir, ou l’entreprise peut ne pas correspondre Ă  vos attentes. Vous ne vous en rendrez compte qu’une fois sur place. C’est pourquoi le dĂ©part doit se faire en deux temps vous d’abord, la famille ensuite, en tenant compte si besoin du calendrier scolaire si vous avez des enfants. Prendre un logement temporaire en location permet aussi de ne pas faire d’erreur d’implantation par la suite, car ça vous laissera le temps de dĂ©couvrir votre nouvelle localitĂ©, ses quartiers, ses habitants
 Discutez avec vos nouveaux collĂšgues pour identifier le meilleur endroit pour s’installer, en tenant compte de plusieurs critĂšres qui sont importants pour vous temps de trajet, qualitĂ© de vie, prix de l’immobilier, infrastructures, loisirs, Ă©coles. Pendant cette pĂ©riode, il faut aussi impĂ©rativement garder le lien si vous avez une famille qui attend de venir vous rejoindre en rentrant le plus souvent le week-end ou, mieux, en les faisant venir afin qu’ils dĂ©couvrent aux aussi la rĂ©gion. La semaine, profitez-en pour tisser les bases d’une nouvelle vie sociale. Vos collĂšgues vous feront gagner du temps en vous conseillant sur les meilleurs endroits Ă  frĂ©quenter, les bonnes adresses, les choses Ă  voir, les balades, etc. Pendant la pĂ©riode transitoire, c’est le bon moment aussi pour essayer de dĂ©velopper votre rĂ©seau sur place. En cherchant d’anciennes connaissances, camarades de promo ou membres de votre famille dans le coin. En visant trĂšs large les amis de vos amis sont vos amis » ! Ce sera aussi utile par la suite si votre conjointe doit trouver un travail. Le grand dĂ©part anticipez votre dĂ©mĂ©nagement et prenez le temps de vous installer Rien de tel qu’un dĂ©mĂ©nagement anticipĂ© et bien prĂ©parĂ© pour un dĂ©part en toute sĂ©rĂ©nitĂ©. Au moment de vous installer dĂ©finitivement, faites en sorte que votre ancien logement soit libĂ©rĂ©, vendu ou louĂ© afin d’éviter les doubles loyers notamment. MĂȘme chose pour le nouveau logement associez toute votre famille dans le choix afin d’impliquer tout le monde dans ce changement de vie. Et si vous le pouvez, plutĂŽt que de galĂ©rer Ă  louer une camionnette et vous Ă©puiser dans un dĂ©mĂ©nagement interminable, optez pour un dĂ©mĂ©nageur ce n’est pas forcĂ©ment beaucoup plus coĂ»teux. Ça Ă©vite aussi de se casser le dos et permet de se concentrer sur l’installation de toute la famille. Une fois bien installĂ©s, pensez Ă  votre conjoint, Ă  votre famille et
 Ă  vous ! En effet, si vous ĂȘtes en famille, ne nĂ©gligez pas l’impact du dĂ©mĂ©nagement sur tous les membres de la tribu. Prenez un peu de temps pour les aider Ă  se sentir bien dans les moments-clĂ©s rentrĂ©e scolaire, recherche d’emploi
 Pensez aussi Ă  vous rendre aux rĂ©unions annuelles d’accueil des nouveaux arrivants dans votre nouvelle ville, par exemple. On y apprend toujours quelque chose et on peut faire des rencontres utiles. Pensez aussi Ă  vous et pas uniquement Ă  votre carriĂšre en faisant des journĂ©es Ă  rallonge pour faire bonne impression. Vous avez droit aussi Ă  une pĂ©riode d’adaptation ! La newsletter des recruteurs Vous ĂȘtes recruteur ? HelloWork vous aide Ă  trouver des candidats. DĂ©couvrir nos solutions Mis Ă  jour le 24 juin 2022 Ă  17h00 TĂ©moignages cette phrase de psy qui a changĂ© ma vie - © KatarzynaBialasiewicz / iStock Il suffit parfois d’une seule petite phrase pour un grand dĂ©clic. Deuil pĂ©rinatal, anxiĂ©tĂ©, ou relation compliquĂ©e avec la figure paternelle les thĂ©rapeutes ont parfois les mots justes pour nous permettre de changer notre vision des choses. Par Laura Boudoux Les gens ne lisent pas dans tes pensĂ©es, et ce qui est Ă©vident pour toi, ne l’est pas pour eux » Ma psy m’a ouvert les yeux sur le fait que je ne pouvais pas en vouloir aux gens pour leurs actions si je n’exprimais pas en amont ce qui m’affectait, ou ce dont j’avais besoin. Avant, ça me servait un peu d’excuse pour ĂȘtre nĂ©gative ou pour renforcer mes schĂ©mas "De toute façon personne ne m’aime, les gens font des choses qui me blessent parce qu’ils s’en fichent de moi." Quand elle m’a dit ça, j’ai rĂ©alisĂ© qu’on est souvent tellement absorbĂ©es par nos propres problĂšmes qu’on ne fait pas forcĂ©ment attention Ă  l’impact de nos paroles ou de nos actes sur les autres. Par exemple, ma mĂšre ne me posait pas trop de questions sur mon travail, et je me disais que c’était parce que ça ne l’intĂ©ressait pas, ou mĂȘme qu’elle prĂ©fĂ©rait ma sƓur. Suite Ă  mon rendez-vous avec la thĂ©rapeute, je lui ai simplement dit "Tu sais, ça me ferait plaisir que tu t’intĂ©resses Ă  mon travail et que tu sois plus curieuse de ma vie." J’ai bien vu que pour elle ce n’était pas du tout Ă©vident. C’est un exemple dĂ©clinable Ă  l’envi, dans tous les domaines de ma vie et dĂ©sormais je tire moins de conclusions hĂątives. J’exprime davantage ce dont j’ai envie, et quand j’en veux aux gens, c’est en connaissance de cause ! [rires] » Clara À lire aussi >> En thĂ©rapie devrions-nous toutes et tous consulter un jour ? Vous ne pouvez pas sauver tout le monde, et encore moins quelqu’un qui ne veut pas ĂȘtre sauvĂ© » J’avais des soucis dans ma vie perso, mais aussi professionnelle. Une impression d’ĂȘtre toujours en train de me battre pour quelque chose ĂȘtre aimĂ©e, ĂȘtre heureuse, faire en sorte que les dĂ©cisions prises soient diffĂ©rentes
 AprĂšs plusieurs sĂ©ances, je me suis rendu compte que j’appuyais mon monde sur le monde des autres, et forcĂ©ment "les autres" n’adoptaient pas toujours les comportements que j’attendais. L’homme qui partageait ma vie n’était pas un homme aimant, valorisant, ni gentil comme j’avais envie qu’il le soit avec moi. Je pensais qu’avec mon amour, j’allais le changer
 mais ça ne marchait pas ! Avec cette phrase, j’ai compris que les seuls changements que je pouvais initier Ă©taient ceux que je maĂźtrisais, et donc qu’il s’agissait de redĂ©finir mes envies, mes prioritĂ©s, les limites de ce que je pouvais supporter. Il m’a fallu apprendre Ă  dire non, et ça a changĂ© ma vie. Je suis devenue mon propre changement, la scĂ©nariste et l’actrice de ma propre vie. Dans la foulĂ©e, j’ai quittĂ© mon compagnon et j’ai changĂ© de boulot radical mais efficace ! Depuis, je m’attache Ă  cette philosophie afin d’éviter de m’engoncer dans des histoires de vie et/ou des situations professionnelles qui ne me conviennent pas. » Audrey Ce que vous ressentez est normal » J’ai perdu un bĂ©bĂ© Ă  un peu plus de cinq mois de grossesse, et les annonces de naissances ou de grossesse Ă©taient trĂšs difficiles Ă  gĂ©rer. Je recevais des photos d’échographie, ou des annonces par textos dans des groupes d’amies, et je m’effondrais Ă  chaque fois. Ça faisait naĂźtre une colĂšre immense, parce que je voyais qu’on ne prenait pas en compte ma situation en arrondissant les angles. C’est quelque chose qui m’a poursuivie pendant des mois et mon entourage ne comprenait pas mes rĂ©actions, mes crises d’angoisse. Il y avait une vraie incomprĂ©hension. Mon compagnon pensait que je faisais du sur-place, que je me complaisais lĂ -dedans et que je devenais aigrie. C’était trĂšs dur d’avoir ces Ă©motions nĂ©gatives alors que j’étais censĂ©e me rĂ©jouir. Quand tu n’as pas d’amie Ă  qui c’est arrivĂ©, tu ne peux pas en parler et tu ne sais pas si c’est normal, ou si tu es en train de pĂ©ter un cĂąble, tu ne sais pas comment te situer. À la suite d’une dispute avec mon mari, j’en ai parlĂ© Ă  ma psy et elle m’a dit que ce que je ressentais Ă©tait normal, et que certes ces Ă©motions Ă©taient trĂšs nĂ©gatives, mais que je ne pouvais pas faire autrement, que j’étais en train d’apprendre Ă  vivre avec. Elle m’a expliquĂ© que c’était quelque chose de rĂ©gulier et de normal dans les parcours comme les miens, et aussi ceux de PMA, ou d’infertilitĂ©. Ça m’a enlevĂ© un poids. J’ai rĂ©alisĂ© "Ce n’est pas moi qui ai un problĂšme, ce ne sont pas non plus les autres. Mais avec les moyens qui sont les miens aujourd’hui, je ne peux pas faire autrement." J’ai pu accepter de ressentir ces Ă©motions et ne plus me voir comme quelqu’un hors normes, ou de monstrueux, avec des Ă©motions socialement inacceptables. Je n’avais pas besoin qu’on me secoue, ou qu’on me dise que j’étais injuste avec mes amies, mais juste que ça passerait un jour. » Sophie, crĂ©atrice du podcast Au Revoir. À lire aussi >> Deuil pĂ©rinatal Toute fausse couche peut ĂȘtre dĂ©vastatrice » Ce n’est pas grave, si tout le monde ne vous aime pas » J’ai consultĂ© parce que je me sentais assez triste, et j’étais surtout persuadĂ© que j’étais une sorte de supercherie. J’avais l’impression que mes potes allaient se rendre compte que j’étais juste un mec nul, lambda. J’avais vraiment la volontĂ© de plaire Ă  tout le monde. Ma psy a prononcĂ© cette phrase, en me demandant "Vous, vous n’aimez pas 100% des gens ?", et ça m’a fait prendre conscience des choses. Ce n’est pas encore totalement rĂ©glĂ©, mais maintenant, si des gens ne m’aiment pas pour ce que je suis, je n’en ai plus rien Ă  faire ! » Alex Vous devez rĂ©apprendre Ă  voir votre pĂšre comme votre pĂšre, et non comme votre Ă©poux » J’avais moins de dix ans quand j’ai dĂ©couvert que mon pĂšre Ă©tait infidĂšle. Je fouillais dans son portable dĂšs que j’en avais l’occasion, comme une Ă©pouse jalouse. Personne n’était au courant et ça a durĂ© des annĂ©es. À l’adolescence, j’avais des rapports compliquĂ©s avec lui, je n’arrivais mĂȘme plus Ă  le regarder dans les yeux pour lui parler. J’ai Ă©tĂ© voir une psy parce que je me sentais un peu dĂ©primĂ©e, et au bout d’un quart d’heure, elle m’a demandĂ© "Bon
 pourquoi vous venez me voir ? Vraiment !" J’ai fondu en larmes et je lui ai tout racontĂ©. Elle m’a expliquĂ© qu’il fallait que je dĂ©construise l’image que j’avais créée de mon pĂšre, et que je cesse de jouer le rĂŽle de l’épouse. J’ai rĂ©alisĂ© que je n’étais absolument pas Ă  ma place, et petit Ă  petit, j’ai appris Ă  voir mon pĂšre comme un pĂšre et non comme un homme. C’est parfois compliquĂ©, et j’apprends encore Ă  ne pas le juger et Ă  lui faire confiance, sans trop me soucier de savoir quel Ă©poux il est. » Laura Vous souffrez d’anxiĂ©tĂ© sociale » Ma premiĂšre psy a posĂ© ce diagnostic, et tout s'est Ă©clairĂ© ! Je ne savais pas vraiment pourquoi j'allais la voir, mais je savais que je me sentais mal Ă  l'aise dans certaines situations. Il a fallu les dĂ©cortiquer ensemble et le fait qu'elle ait prononcĂ© ces mots m'a ouvert tout un monde. Le mien, que je comprenais mieux. Mais aussi le monde de la psychologie, que j'ai vraiment trouvĂ© fascinant Ă  partir de ce moment-lĂ . Elle m'a ensuite donnĂ© des exercices, de type mĂ©ditation, Ă©criture... et m'a dit que j'avais toute la vie pour travailler sur mon anxiĂ©tĂ© sociale avec ses outils. Cette phrase m'a fait un bien fou, j'ai eu l'impression de me connaĂźtre rĂ©ellement tout Ă  coup. C'Ă©tait rassurant de savoir qu'il y avait des mots pour le dire, et cela m'a donnĂ© confiance en l'avenir. » Vanessa Vous pouvez aussi choisir de ne pas penser Ă  ces scĂ©narios » À chaque fois que je prenais l'avion, j'imaginais un crash, la sensation que ça me ferait, et la rĂ©action de mes proches si je mourais. Ma psy m'a expliquĂ© que je pouvais choisir de ne pas penser Ă  tout ça. Ça peut paraĂźtre bĂȘte, mais je n'avais jamais considĂ©rĂ© le fait que ça puisse ĂȘtre un choix. Je pouvais me dire "Non, je ne vais pas alimenter ces scĂ©narios et les entretenir", mais plutĂŽt dĂ©cider, quand j’avais des pensĂ©es anxieuses et intrusives, de les laisser de cĂŽtĂ© pour de me concentrer sur autre chose. C’était valable lorsque je me trouvais dans un avion, mais aussi pour d'autres situations
 Ça a Ă©tĂ© une sorte de rĂ©vĂ©lation, et quand j'ai des pensĂ©es anxieuses aujourd'hui, je repense Ă  cette phrase et ça m'aide Ă©normĂ©ment. » Marie Depuis que je fais du coaching, cette question ou plutĂŽt cette interrogation revient de façon rĂ©currente Je change de vie oui mais, et les autres ? Que vont-ils en penser ? Vont ils me soutenir ? Et si cela ne leur convenait pas ? 
 Lorsque j’ai dĂ©cidĂ© de changer toutes mes habitudes il y a maintenant plus de 3 ans, j’ai Ă©tĂ© confrontĂ©e Ă  une multitude de freins, de rĂ©sistances, de jugements de la part de mon entourage [ et encore, je ne pense pas honnĂȘtement avoir Ă©tĂ© confrontĂ©e au pire ] Entre les personnes qui pensent que vous ĂȘtes subitement devenu dĂ©primant / triste / pas drĂŽle il n’y a pas de mention inutile parce que vous avez dĂ©cidĂ© de vous sevrer de votre cuite quotidienne oui, vous avez bien lu, ceux qui pensent que le vĂ©gĂ©tarisme se rĂ©sume Ă  manger des graines et des lĂ©gumes crus arf , ceux encore qui ricanent en vous demandant ” si vous comptez perdre un os Ă  force de courir ” ou encore qui vous demandent “combien de temps va durer votre rĂ©gime”. Vous n’ĂȘtes pas rendus. Et pourtant, je peux vous le dire d’expĂ©rience, cela passe. Et les personnes dubitatives voire rĂ©calcitrantes au dĂ©part se montreront peu Ă  peu intĂ©ressĂ©es par votre nouveau mode de vie. En fait, je crois que l’essentiel est de faire les choses pour soi et surtout de faire des choses qui nous ressemblent et qui nous rendent heureux / bien dans notre peau et dans notre tĂȘte. Un exemple tout bĂȘte ne vous mettez pas au fitness ou ne vous inscrivez pas dans une salle de sport parce que c’est Ă  la mode ! Si vous prĂ©fĂ©rez faire toutes les semaines de la natation ou bien de l’escalade, foncez, prenez y du plaisir, rayonnez ! C’est cela que verra votre entourage. Ne devenez pas vĂ©gĂ©tarien / vegan pour faire “bien”. Faites le si et seulement si cela vous permet d’ĂȘtre en phase avec vos convictions, avec qui vous ĂȘtes et surtout avec la personne que vous avez envie de devenir. Lorsque l’on est bien, en phase, serein, cela se ressent et l’entourage le remarque. Et les plus rĂ©ticents / rĂ©fractaires du dĂ©but ne peuvent alors qu’admettre que ce changement est bĂ©nĂ©fique pour vous [ et donc revoir leur jugement ou du moins, le taire ]. En un mot faites les choses pour vous, soyez votre propre moteur. Et vous verrez, les autres suivront [ ou pas, mais aprĂšs tout, ce n’est pas votre problĂšme ! ] Photo Pixabay Il faut que je vous parle du livre qui a totalement bouleversĂ© ma vie. Ce livre ne m’est pas tombĂ© dessus un beau jour par hasard. Je dois plutĂŽt dire que c’est LE livre que je cherchais depuis longtemps, sans savoir que je le cherchais
 Je m’explique Mon changement de vie, ma rĂ©vĂ©lation je la dois Ă  Timothy Ferris Tim Ferris, de son petit nom avec son Best seller La semaine de 4 heures ». Ce bouquin est en fait un incontournable, un classique dans le milieu de l’infopreneuriat pour qui veut travailler moins pour vivre trouvĂ© ce livre en surfant sur internet, alors que je cherchais en vain des moyens de rĂ©soudre mon Ă©quation impossible temps + argent. VoilĂ  pourquoi je vous disais qu’il n’était pas arrivĂ© par hasard dans ma vie, et que je cherchais une solution Ă  mon problĂšme mais sans savoir si j’allais en juillet 2012. J’étais enceinte de mon fils aĂźnĂ©, je m’en souviens comme si c’était hier des nausĂ©es aussi
 ;. J’ai DĂ©-Vo-RĂ© le bouquin. Ni une, ni deux. Une fois le livre terminĂ©, je prenais un papier et un crayon et me mettais dard-dard au travail. 4 mois plus tard, je vendais ma premiĂšre livre dĂ©monte toutes nos croyances quant Ă  l’argent, au temps et au ancien adepte du travail pour le travail », il dĂ©nonce le prĂ©sentĂ©isme, cette idĂ©e selon laquelle il faut qu’un travailleur, salariĂ© ou chef d’entreprise soit Ă  son bureau de 9h Ă  19h pour justifier son salaire ou sa rĂ©alitĂ© c’est que pour beaucoup d’entre nous, nous pouvons avoir de bien meilleurs rĂ©sultats en travaillant moins. En faisant quoi ? En appliquant quelques principes comme la rĂšgle des 80/20 ou encore la loi de des 80/20 20% des causes produisent 80% des effets. Et inversement, 80% des causes produisent 20% des effets. Si vous prenez la peine de dĂ©cortiquer de quelle façon vous utilisez votre temps, au travail, ou en dehors, vous constaterez ce observerez que certaines activitĂ©s ne vous prennent que peu de temps et produisent un rĂ©sultat Ă  80% satisfaisant. Tandis que d’autres activitĂ©s sont chronophages et pourtant ne vous apporte par grand-chose en termes de rĂ©sultats. Il faut donc s’atteler Ă  faire le mĂ©nage dans nos activitĂ©s, et supprimer ce qui nous prend du temps et ne nous apporte pas beaucoup de fois ce mĂ©nage fait, appliquez la Loi de de Parkinson Il faut limiter la durĂ©e que l’on alloue Ă  une activitĂ© ou Ă  une tĂąche car si on ne la limite pas dans le temps, elle prend tout le temps qu’elle partir du moment oĂč l’on sort de cette croyance selon laquelle Il faut travailler dur pour mĂ©riter l’argent que l’on gagne », et que l’on comprend, adhĂšre et constate les principes 80/20 et de la Loi de Parkinson, alors on est prĂȘt Ă  concevoir qu’il soit possible de gagner sa vie en ne travaillant que trĂšs croyances, nous les hĂ©ritons de notre Ă©ducation et n’en avons pas forcĂ©ment conscience. Je ne vous encouragerais que trop Ă  vous pencher sur vos croyances, Ă  les identifier afin de prendre conscience du fait que ces croyances sont limitantes, elles vous empĂȘchent d’atteindre peut-ĂȘtre vos objectifs dans la Ferris a dĂ©veloppĂ© un systĂšme automatisĂ© de vente en ligne de complĂ©ment alimentaire pour sportifs. La beautĂ© du systĂšme rĂ©side dans l’automatisation Ă  l’extrĂȘme du processus entre le moment oĂč le client achĂšte et oĂč il reçoit le qu’il doive sa fortune Ă  la vente d’un produit physique, il estime aprĂšs coup que le meilleur business model est la vente d’un produit d’information au moins il prĂ©sente l’avantage d’ĂȘtre immatĂ©riel, ce qui facilite la vie question livraison du produit et je vous le confirme, qui dĂšs lors se fait par mail tout simplement
Je n’ai partagĂ© avec vous qu’une parcelle de ce qu’il explique. Il y aurait tellement Ă  dire. Attention, si vous le lisez, il risque de changer votre vie
 🙂 L’autre jour, en me promenant sur Facebook, je suis tombĂ©e sur une discussion sur un groupe avec la question suivante quelle est l’habitude qui a changĂ© votre vie ? » Alors j’ai rĂ©flĂ©chi le sport ? Le fait de me lever tĂŽt ? Pratiquer la gratitude ? 
 Et lĂ , j’ai rĂ©alisĂ© que toutes ces choses avaient un point en commun la lecture, ces habitudes je les ai dĂ©couvertes ou approfondie dans un livre. La lecture pour dĂ©couvrir, pour se poser des questions, pour se remettre en question, pour acquĂ©rir de nouvelles compĂ©tences. Elle est lĂ , ma meilleure habitude, celle qui me permet d’évoluer dans ma vie lire le savez, car je n’aborde quasiment jamais un article sans vous donner des propositions de lecture DĂšs qu’un sujet m’intĂ©resse, je file Ă  la librairie. Mais pas que ! Je m’inscris sur des groupes facebook mĂȘme si j’y participe en gĂ©nĂ©ralement peu, j’aime lire des Ă©changes et des tĂ©moignages, je fais des recherches sur internet, je lis des forums
 Bref, je me suis loin de prendre tout ce qu’il y a dans les livres pour de la vĂ©ritĂ© pure. Par exemple, j’ai lu Ă©normĂ©ment de livres sur la parentalitĂ© positive. Loin d’en faire des modes d’emplois Ă  suivre de A Ă  Z, ces lectures m’ont surtout permises de me remettre en question, d’engager le dĂ©bat avec mon mari ou mon propre dĂ©bat intĂ©rieur. Certaines affirmations lues m’ont poussĂ©s Ă  la rĂ©flexion, d’autres m’ont semblĂ© limpide. Presque l’envie de me taper le front et de me dire Mais oui, mais c’est bien sĂ»r ! ». Parfois la lecture m’apporte la petite Ă©tincelle qu’il me fallait. Parfois le travail est plus long. Mais Ă  chaque livre lu je ressors grandie avec une nouvelle idĂ©e, une nouvelle habitude, une nouvelle est impossible d’assimiler un livre complet j’oublie certainement 80% de ce que je lis. J’en applique peut-ĂȘtre que 5%. Mais mĂȘme si un livre ne m’apporte qu’une nouvelle idĂ©e ou un nouveau changement, c’est dĂ©jĂ  un beau cadeau et une belle pour cet article, je vous fais une petite sĂ©lection de lectures qui m’ont beaucoup apportĂ© en sport, en dĂ©veloppement personnel, en parentalité  Mes petites bibles. Pas forcĂ©ment les livres les plus pertinents ou les plus documentĂ©s, mais en tout cas ceux qui ont Ă©tĂ© une petite Ă©tincelle supplĂ©mentaire Ă  un moment donnĂ© de ma vie. J’en ai certainement dĂ©jĂ  partagĂ© plusieurs sur le blog, mais ici ils seront / Accouchement Pour une naissance sans violence, de FrĂ©dĂ©rick LEBOYER Accouchement, les femmes mĂ©ritent mieux, de Marie-HĂ©lĂšne LAHAYE Mieux accoucher c’est possible, de Francine DAUPHINParentalitĂ© et Ă©ducation Les vrais besoins de votre bĂ©bĂ©, de Bernadette LAVOLLAY L’allaitement, du docteur Marie THIRION Tout se joue avant 6 ans, du docteur Fitzhugh DODSON J’ai tout essayĂ©, d’Isabelle FILLIOZAT Au coeur des Ă©motions de l’enfant, d’Isabelle FILLIOZAT Éduquer sans punir, du docteur Thomas GORDON Élever un garçon, de Steve BIDDULPH Les lois naturelles de l’enfant, de CĂ©line ALVAREZ La fessĂ©e, de Olivier MAUREL Parler pour que les enfants Ă©coutent, Ă©couter pour que les enfants parlent, de AdĂšle FABER et Elaine MAZLICH Apprends-moi Ă  faire seul, de Charlotte POUSSINDĂ©veloppement personnel Miracle Morning, de Hald Herold Miracle Morning, le guide pratique, de Laura MABILLE Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses Ă©tudes, de Olivier ROLLAND J’arrĂȘte de rĂąler, de Christine LEWICKI J’arrĂȘte d’ĂȘtre parfaite, de Cindy GHYS Ta vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une, de RaphaĂ«lle GIODANOSport et bien ĂȘtre La magie du running, de Anne &DUBNDIDU Mon programme running en 8 semaines, de Anne&DUBNDIDU Je suis happy, de Margot et Catherine AUGE Une question d’équilibre, de Mathilde LACOMBE Le livre du Hygge, de Meik WINING Caroline et Safia, The Book, de Caroline et Safia Les joies d’en bas tout sur le sexe fĂ©minin, de Nina BROCHMANN et Ellen STØKKEN DAHLMaison, zĂ©ro dĂ©chet et organisation La magie du rangement, de Marie KONDO Ranger l’étincelle du bonheur, de Marie KONDO Mon cahier super organisĂ©e, de Anne-Sophie LEVESQUE Le livre qui va vous simplifier la vie au quotidien, de CĂ©line COPIER ZĂ©ro DĂ©chet, de BĂ©a JONHSON Famille zĂ©ro dĂ©chet, de JĂ©rĂ©mie PICHON et BĂ©nĂ©dicte MORET J’arrĂȘte de surconsommer, de Herveline VERBEKEN et Marie LEFEVRECe n’est donc qu’une petite sĂ©lection de ma bibliothĂšque. Et j’ai une pile de livre Ă  lire au moins aussi importante 🙂 J’ai tellement hĂąte de dĂ©couvrir ce qu’ils vont m’apporter ! Entre autre L’apprentissage de l’imperfection » de Tal BEN-SHAHAR, Pour une enfance heureuse » du Docteur Catherine GUEGEN ou encore La mĂ©thode Ikigai » de Francesc MIRALLES
 et tant d’autres !Est-ce que vous lisez beaucoup Ă©galement ? Quelles sont vos petites bibles Ă  vous ?

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