Maisle retour Ă  un quotidien un peu plus organisĂ© amĂšne aussi un certain rĂ©confort pour accueillir cette saison que j’aime tant, l’automne! Quand je pense Ă  la rentrĂ©e, comme HelloHello ! Pas de 5 things depuis le 8 juillet, si vous ĂȘtes abonnĂ©.e Ă  ma newsletter hebdomadaire (gratuite) vous avez reçu quelques news et chroniques pendant l'Ă©tĂ©, et Ohma chĂ©rie, pense Ă  moi, aime-moi ; songe Ă  la derniĂšre minute oĂč nous nous sommes vus, et Ă  la premiĂšre minute oĂč nous nous reverrons. Je voudrais t'Ă©crire Ă  chaque instant, t'envoyer toutes mes pensĂ©es puisque tu les as. Doux ange, fixe tes yeux adorables sur moi, d'ici je les sentirai. Cela me rĂ©chauffera l'Ăąme : Je t'aime, tu PenseĂ  moi comme je t'aime et tu me dĂ©livreras Tu briseras l'anathĂšme qui me tient loin de tes bras Pense Ă  moi comme je t'aime, rien ne nous sĂ©parera MĂȘme pas les voilĂ c'est un poĂšme que j'ai Ă©crit quand j'allais pas trĂšs bien et je trouvais ça sympa de vous le faire partager!!Mais je devrais le transformer en chanson si Vay Tiền Nhanh Ggads. +6melLa NouilleLolitamuchmarlouzeSenninha10 participantsAller Ă  la page 1, 2 AuteurMessageInvitĂ©InvitĂ©Sujet Chansons de BĂ©hĂšre Jeu 30 Sep 2010 - 2116 Meme dĂ©marche que pour les prochaines chansons je les mettrais ici, meme si des novueaux enregistrements faudra attendre que j'ai du nouveau matos parce que l'ancien m'a lachĂ©, donc, pour m'Ă©couter, suivez ce lien savoir qu'il n'y a plus que trois extraits _Les Grands_Cinq Minutes_Seule ma Main a su t'Aimer, les seuls prĂ©sentables au niveau de la voix avec un petit bĂ©mol pour "Seule ma main a su t'aimer" mais qui reste une de mes chouchouteset de la qualitĂ© d'enregistrement, Ă©tant donnĂ© que j'ai tout de meme un peu progressĂ©...un peu...si, quand meme...non?ah ce qui ne me connaissent pas, ce sera un plaisir d'avoir votre avis!a tantot les jeunesps ah oui il y a une vidĂ©o d'un concert aussi! la chanson c'est "Ta Gueule Connasse"DerniĂšre Ă©dition par BĂ©hĂšre le Dim 14 Nov 2010 - 2232, Ă©ditĂ© 1 fois SenninhaCrocodile Dundee Nombre de messages 1772Age 36Localisation Osny Ă  cĂŽtĂ© de Cergy 95Date d'inscription 25/01/2008FlipomĂštre J'suis pas tout seul Ă  ĂȘtre tout seul, je l'ai enfin compris...Sujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Ven 1 Oct 2010 - 1029 BĂ©hĂšre a Ă©crit Pour ce qui ne me connaissent pas, ce sera un plaisir d'avoir votre avis! 'ttention quand mĂȘme Ă  ce que vous dites _________________Celui qui offrait des crocos Ă  Benito ! InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Ven 1 Oct 2010 - 1429 lol ba c'est sur que si c'est pour me dire que vous prĂ©ferez l'assassymphonie... marlouzeJeune grenouille de Benito Nombre de messages 115Age 36Date d'inscription 03/08/2010Sujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Jeu 7 Oct 2010 - 1641 j'aime ! avec une p'tite prĂ©fĂ©rence pour 5 minutes et les Grands. belle plume ! moi j'dis muchCaillou dans les dix fesses Nombre de messages 806Age 33Localisation BruxellesDate d'inscription 30/10/2008FlipomĂštre "I lit a thin green candle, to make you jealous of me. But the room just filled up with mosquitos, they heard that my body was free" L. CohenSujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Jeu 7 Oct 2010 - 1644 marlouzeJeune grenouille de Benito Nombre de messages 115Age 36Date d'inscription 03/08/2010Sujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Jeu 7 Oct 2010 - 1721 ouais, en cinq mots elle dĂ©chire tout cette chanson ! InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Ven 8 Oct 2010 - 1533 ca c'est cool! merci, j'l'aime beaucoup cette chanson, et j'pourrais surement aps la jouer en concert avant d'avoir une vraie formation autour de moi en l'anecdote, je crois qu'elle a Ă©tĂ© notĂ©e 13, 5 en atelier chanson francaise, ce qui me rassure Ă©tant donnĂ© que c'Ă©tait notĂ© n'importe comment InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Dim 14 Nov 2010 - 2235 Du nouveau du nouveau!pas en chansons, enfin ya du nouveau en chansons mais j'attend toujours le nouveau transfo de l'alim de ma table de mixage. on s'en fout hein? je mais c'est bon j'aide nouveau mon site neuf, tout beau, avec toujours les trois chansons a Ă©couter, et la vidĂ©o, mais avec des textes en plus et quand concerts il y aura, les dates, et un pitit truc pour me du bonheur. faites moi part de vos impressions, vos idĂ©es qui pourraient amĂ©liorer un peu le site parce que je suis pas hypra douĂ© pour ca mais j'y met du coeur. et puis allez-y, allez-y Ă©coutez moi jusqu'a plus soif! je vous en prie! InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Ven 6 Avr 2012 - 526 ConquistadorAmour, j'ai bien reçu ta lettreAlerte aux nouvelles de toiCelle oĂč tu me dis que, peut-etre, Tu revoudrais un peu de n'me sens pas de te rĂ©pondrePuisque je n'en sais rien moi-mĂȘmeEt que mon coeur n'est plus Ă  fondreAutant t'Ă©viter les problĂšmes Va donc aimer un autre con qui continuera, lui, de t'aimer. Amour, j'ai lu, relu ta lettreA l'envers, en travers, en droitTu m'y Ă©cris que je suis bĂȘteDe pas te chanter plus que caJe n'oserais jamais rĂ©pondreQue j'n'ai jamais chantĂ© que moiEt dans ton dĂ©part pour LondresJe vois moins douleur que joie Part donc un peu plus loin, lĂ  oĂč je suis sur de ne jamais aller. Amour, je croule sous tes lettresY en a jusque dans mes chansonsEt dans chacune, tu me rĂ©pĂšteTes envies de je me plais Ă  te rĂ©pondreQue tu es un de mes combatsEt si je renverse le MondeC'est bien pour qu'il tombe sur toi. Je te rĂ©serve mon plus beau pavĂ©, pauvre folle dĂ©pravĂ©e. Je n'ai jamais reçu de lettreOu bien elles n'Ă©taient pas de toiAlors dans ma folie, mais complĂšteJe parle au miroir, chez ce salaud de me rĂ©pondreQue je devrai ĂȘtre dehorsA me taper de jolies blondesEt jouer au con qui s'adore Je m'emmerde trĂšs bien sans toi, la seule chose que j'te demanderaiSerait de me donner de quoi me faire en homme un peu moins mauvaisDerniĂšre Ă©dition par BĂ©hĂšre le Mer 6 Mar 2013 - 457, Ă©ditĂ© 1 fois LolitaAdmin tyrannique de ce forum. Nombre de messages 4722Age 36Date d'inscription 16/12/2005Sujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Sam 7 Avr 2012 - 1213 Je viens de te le dire sur msn, ma critique n'est pas des plus constructives mais...J'aime. sur la lune si on m' demande...* InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Dim 8 Avr 2012 - 1501 DerniĂšre Ă©dition par BĂ©hĂšre le Mer 6 Mar 2013 - 456, Ă©ditĂ© 1 fois La NouilleGardien de la DorĂ©musie. Nombre de messages 791Age 35Localisation NantesDate d'inscription 26/03/2006FlipomĂštre BTS comm' VisuelleSujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Ven 13 Avr 2012 - 1735 Je tire mon chapeau comme d'habitude...Et salut les copains au passage_________________" Humains, pucelles et puis poĂštes peuvent bien aller mourir " BĂ©hĂšreMon renouveau Blog ! LolitaAdmin tyrannique de ce forum. Nombre de messages 4722Age 36Date d'inscription 16/12/2005Sujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Ven 13 Avr 2012 - 2106 La Nouille mon amimour sur la lune si on m' demande...* melDorĂ©musien confirmĂ© Nombre de messages 284Age 36Localisation clermont ferrandDate d'inscription 04/11/2009Sujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Sam 14 Avr 2012 - 1258 j'ai juste envie dire que j'aime bien ! le truc qui n'avance Ă  rien mais quand mĂȘme envie de le souligner...Genre J'aime bien ! InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Sam 14 Avr 2012 - 2041 LolitaAdmin tyrannique de ce forum. Nombre de messages 4722Age 36Date d'inscription 16/12/2005Sujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Lun 16 Avr 2012 - 841 sur la lune si on m' demande...* La NouilleGardien de la DorĂ©musie. Nombre de messages 791Age 35Localisation NantesDate d'inscription 26/03/2006FlipomĂštre BTS comm' VisuelleSujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Lun 16 Avr 2012 - 2034 Vous vous empruntez toujours vos comptes et tout le bordel ?Bon en tout cas c'est chouette que ça perdure ce forum. Je passerai plus souvent je le dis Ă  chaque fois... Mais cette fois c'est vrai ! Si si ! Allez !Bon je floode je sais, mais j'ai l' Humains, pucelles et puis poĂštes peuvent bien aller mourir " BĂ©hĂšreMon renouveau Blog ! LolitaAdmin tyrannique de ce forum. Nombre de messages 4722Age 36Date d'inscription 16/12/2005Sujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Mer 18 Avr 2012 - 1014 Disons que certaines manip' ont Ă©tĂ© effectuĂ©es pour que s'affiche un autre mot que celui qui a Ă©tĂ© tapĂ© Ă  la base. On te retrouve avec plaisir ma Nouillette! HĂ©, y a l'un de tes dessins du mariage qui trĂŽne dans ma mini-bibliothĂšque. MĂȘme que je les aurais bien tous rĂ©cupĂ©rer mais j'ai pas voulu abuser. ^^ sur la lune si on m' demande...* La NouilleGardien de la DorĂ©musie. Nombre de messages 791Age 35Localisation NantesDate d'inscription 26/03/2006FlipomĂštre BTS comm' VisuelleSujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Mer 18 Avr 2012 - 1059 SĂ©rieux ? T'as chopĂ© un dessin lĂ  bas ?! Rhooo !Faut que je t'envoie les photos aussi, mais y en a tellement que par mail ça va etre dur, du coup je vais faire comme pour les autres, je vais t'envoyer tout ça sur CD. Faudra que tu me donnes ton adresse du coup p Je dois l'avoir mais dans mon bazar avant que je la retrouve..._________________" Humains, pucelles et puis poĂštes peuvent bien aller mourir " BĂ©hĂšreMon renouveau Blog ! FloFlo de ce forum Nombre de messages 2665Age 33Localisation DijonDate d'inscription 08/02/2006FlipomĂštre "T'es oĂč ? Parce que lĂ  j'te prĂ©viens, j'suis pas en train d'attendre un crĂ©tin"Sujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Mer 18 Avr 2012 - 1833 LolitaAdmin tyrannique de ce forum. Nombre de messages 4722Age 36Date d'inscription 16/12/2005Sujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Jeu 19 Avr 2012 - 1043 Oui! Flora m'a dit que je pouvais en prendre un en souvenir... Flo! Et je te donne mon adresse par mp, y a pas de sushis! Surtout que ce n'est plus la mĂȘme depuis...^^ sur la lune si on m' demande...* muchCaillou dans les dix fesses Nombre de messages 806Age 33Localisation BruxellesDate d'inscription 30/10/2008FlipomĂštre "I lit a thin green candle, to make you jealous of me. But the room just filled up with mosquitos, they heard that my body was free" L. CohenSujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Jeu 10 Mai 2012 - 2225 Allez, j'y vais de mon petit avis aussi. Alors, pour le coup, je dois admettre que le texte me touche un petit peu moins qu'Ă  l'habitude. Je n'ai pas de reproche particulier Ă  lui adresser, mais il me parle moins en comparaison de "Cinq minutes", par exemple, que j'aime avec plein de grands "Ah putain c'que c'est bien!".Par contre, les arrangements me plaisent carrĂ©ment beaucoup. Il y a de la recherche, il y a du progrĂšs, il y a du goĂ»t. Il y a ce que j'aime et, par consĂ©quent, je t'envoie un bravo depuis ici. Dans l'attente d'en entendre d'autres. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Jeu 24 Mai 2012 - 1907 c'est interessant ce que tu dis la, moi je l'adore ce texte pourtant... mais je pense qu'il est assez masculin, dans ce qu'il raconte, et le sentiment qu'il essaye de faire valoir...et toi tu es une fille non? enfin a peu prĂšs. en tout cas merci pour les arrangements j'ai essayĂ© de les soigner. muchCaillou dans les dix fesses Nombre de messages 806Age 33Localisation BruxellesDate d'inscription 30/10/2008FlipomĂštre "I lit a thin green candle, to make you jealous of me. But the room just filled up with mosquitos, they heard that my body was free" L. CohenSujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Ven 25 Mai 2012 - 058 BĂ©hĂšre a Ă©crit et toi tu es une fille non? enfin a peu prĂšs. AprĂšs vĂ©rifications d'usage et sur base d'Ă©lĂ©ments tous plus ou moins probants, il semblerait que y a de ça, peut-ĂȘtre, puisque effectivement j'ai plus de mal Ă  ressentir ce texte, Ă  m'y identifier en quelque sorte. Ceci Ă©tant dit, j'ai réécoutĂ© cette chanson pas plus tard que ce matin et il y a malgrĂ© tout en elle quelque chose qui m'accroche. Encore une fois, je suis curieuse d'entendre les suivantes. FannyJeune grenouille de BenitoNombre de messages 77Age 32Localisation ParisDate d'inscription 09/05/2011Sujet Re Chansons de BĂ©hĂšre Ven 25 Mai 2012 - 121 arrangement top oui mais je te l'ai dĂ©ja dis en live alors... Contenu sponsorisĂ© Chansons de BĂ©hĂšre Rendre hommage lors d’un dĂ©cĂšsQue ce soit parce qu’un de ses proches nous le demande ou parce que nous y tenons personnellement, rendre hommagepubliquement au dĂ©funt peut faire beaucoup de de bien d’abord parce qu’en Ă©crivant un texte hommage ou en cherchant Ă  s’inspirer de mots cĂ©lĂšbres pour illustrer la vie du disparu, nous pensons Ă  lui et nous remĂ©morons les meilleurs moments passĂ©s en sa de bien ensuite parce que sa famille et ses amis le redĂ©couvrent au travers de notre regard parfois diffĂ©rent du leur, mais non moins beaucoup de bien enfin parce qu’un au revoir ou un adieu est souvent indispensable pour commencer le chemin du prose ou le poĂšme d’un Ă©crivain peut parfois correspondre Ă  la personnalitĂ© ou aux goĂ»ts de celui qui vient de mourir 
 mais il s’agit de choisir minutieusement le message que l’on veut faire passer. Plus intime et plus personnel sera souvent le discours qui vient du cƓur, mĂȘme si celui-ci peut ĂȘtre introduit par quelques phrases connues. Vous pouvez Ă©galement consultez notre page TĂ©moignages », oĂč vous trouverez beaucoup de poĂšmes, de messages, de tĂ©moignages de personnes qui ont vĂ©cues un trouverez aussi des modĂšles de messages de condolĂ©ances pour prĂ©senter ses condolĂ©ances de la meilleure des maniĂšres. Beau texte pour rendre hommage Ă  une personne dĂ©cĂ©dĂ©e. Chanson de Daniel Balavoine Partir avant les foule denseAutour d’un corps s’endormantDouceur immensePour le dĂ©part d’un parentCalmementPeint aux couleurs de l’artificeDes bleus lisses et roses et blancsEt lentementVisages tendres sur l’herbe glissentSe sourient en chuchotantEt sans le moindre tourmentIls fĂȘtent mon enterrementCendres folles et s’envolentSous les yeux pĂąles et contentsEt s’unissent aux luciolesPour vivre un dernier instantEt Ă  jamaisRestent en suspensEt j’ai souvent souhaitĂ©Partir avant les miensPour ne pas hĂ©riterDe leur flamme qui s’éteintEt m’en allerEn gardant le sentimentQu’ils vivront Ă©ternellementEt simplementQu’ils fassent que la nuit soit claireComme aux feux de la Saint-JeanQue leurs yeux soient grands ouvertsPour fĂȘter mon enterrementPĂšre et mĂšre, soeurs et frĂšresJe vous aime puissammentN’adresser aucune priĂšreOĂč que j’aille je vous attendsLa poussiĂšreVit hors du tempsIl faut rester Ă  la lumiĂšreDansez, buvez en me berçantQue je vous aime en m’endormant Musique pour un enterrement, un choix trĂšs personnelLe choix d’une chanson ou d’une musique pour un enterrement, d’une crĂ©mation est l’une des plus belles maniĂšres d’individualiser les choix de la musique pour un enterrement est un choix trĂšs personnel qu’il faudra faire, surtout si la personne dĂ©cĂ©dĂ©e ne vous avait rien dit. Des textes chantĂ©s qui reflĂštent la vie du dĂ©funt ou tout simplement une musique qui vous rappelle les beaux moments passĂ©es enterrement comment choisir ?Il est difficile de choisir la musique d’enterrement que l’on veut pour soi-mĂȘme ou celle que l’on veut pour un proche. Choisir la musique qui jouera Ă  son enterrementIl est difficile de se projeter dans sa propre mort, mais pourtant c’est un passage par lequel nous passerons tous. Choisir la musique qui jouera Ă  son enterrement, c’est aussi dĂ©finir l’émotion qui accompagnera son dernier contact avec ses proches. Choisir sa musique d’enterrement, c’est aussi permettre Ă  ces gens qui nous ont aimĂ© de bien vivre cette sĂ©paration. C’est pour cela que cette chanson d’enterrement doit ĂȘtre la plus belle la chanson d’enterrement d’un procheC’est diffĂ©rent lorsque l’on choisit la musique d’enterrement d’un proche, il faut qu’elle lui ressemble. Les paroles de cette chanson doivent lui ĂȘtre faciliter votre choix nous avons sĂ©lectionnĂ© des chansons modernes comme de grandes symphoniques de chansons pour un enterrementSarah Brightman/Andrea Bocelli Time To Say GoodbyeFrançoise Hardy Tant de belles chosesGrand Corps Malade Comme une Ă©videnceGrand Corps Malade Nos absentsLynda Lemay Une mĂšreGrand Corps Malade J’ai pas les motsJean-Jacques Goldman Puisque tu parsFrançis Lalanne A mon pĂšreFrançis Lalanne Pense Ă  moi comme je t’aimeCalogero Face Ă  la merMiche Sardou La vie, la mort
Mort Shuman Le lac MajeurFrançis Lalanne On se retrouveraChristophe MaĂ© Ca fait malChopin La marche funĂšbreRequiem for a dreamBeethoven Symphonie 3Pascal Obispo L’envie d’aimerJames Blunt Goodby my loverSoweto gospel Amazing GraceJohann Pachelbel CanonSamuel Barber Agnus deiJean Gabin Maintenant je saisMiche Berger Le paradis blancEvanescence My immortalFlorent Pagny Savoir aimerDaniel Guichard Faut pas pleurer comme çaLed Zeppelin Stairway to heavenAndrea Bocelli Con te partiroAaron Le tunner d’orLinda Lemay Ne t’en va pasChimene Badi Si j’avais su t’aimerFrançis Cabrel Je t’aimais, je t’aime et je t’aimeraiCharles Azanavour Mourir d’aimerCeci n’est Ă©videmment qu’un Ă©chantillon de chansons ou musiques pour un enterrement. Si d’autres chansons ou musiques d’enterrement vous ont touchĂ©, n’hĂ©sitez pas Ă  les partager en commentaire de cet article. Eloge funĂšbre Ă  lire lors des obsĂšques de votre ce fut si souvent le cas au cours de ta vie, c’est autour de toi que nous nous rĂ©unissons tous aujourd’hui, MĂšre, Grand-MĂšre, Marraine ou amie 
 tu as Ă©tĂ© tout cela pour nous et tu le extraordinaire qui t’a animĂ©e tout au long de ton existence et qui – mĂȘme dans la maladie -ne t’a pas quittĂ©e est Ă  prĂ©sent un trĂ©sor pour nous dans cette Ă©nergie que nous puisons pour faire face Ă  ta disparition et au vide immense qui s’est installĂ© en multitude des souvenirs qui s’entrechoquent dans ma tĂȘte est la preuve Ă  la fois de l’importance que tu avais dans ma vie et de la richesse de ce que tu m’as me racontait que dĂ©jĂ  petite tu prenais des autres un soin particulier, qu’il s’agisse de ton entourage proche ou de rencontres plus Ă©phĂ©mĂšres. Cette peine que tu avais lorsque tu sentais la tristesse autour de toi, nous ne te la ferons pas aujourd’hui Maman, car nous voulons que d’oĂč tu es, tu saches comme tu nous as rendus chanter quand tu cuisinais, parler des heures avec tes amies, nous expliquer patiemment un devoir ou mĂȘme crier Ă  Papa qu’il doit se dĂ©pĂȘcher nous manquera infiniment 
 mais cette voix si douce et jamais plaintive restera pour toujours dans nos me souviens d’ĂȘtre un jour entrĂ©e dans ta chambre d’hĂŽpital – tu venais d’apprendre que tu souffrais de cette horrible maladie – et t’avoir dĂ©couverte en larmes 
 pour ensuite me dire une phrase que je n’oublierai jamais tu as comme moi le don de pouvoir ĂȘtre heureuse ».Si je le suis, Maman, c’est grĂące au bagage empreint de tendresse, d’amour et de fiertĂ© que tu m’as transmis depuis ma naissance et sans jamais Ă©tĂ© dure parfois, bĂȘte souvent, insolente mĂȘme 
 tu m’as toujours accordĂ© ton pardon avant mĂȘme que je ne te le demande. Tes remarques et tes questions lucides par contre m’ont fait avancer, et c’est en te regardant te battre que j’ai appris Ă  ne jamais me laisser ma petite Maman, repose en paix et sois certaine de toujours rester vivante en moi. Je voudrais te dire
 des mots lĂ©gersAussi lĂ©gers qu’une bulle de savon
Je voudrais te dire
 des mots simplesAussi simples que l’eau pure d’une sourceJe voudrais te dire
 des mots douxAussi doux que le miel de l’abeille
Je voudrais te dire
 des mots violentsAussi violents qu’un orage
Je voudrais te dire
 des mots fousAussi fous que les battements de mon cƓur
Je voudrais te dire, tout simplement Je t’aime » Texte pour des funĂ©railles qui peut ĂȘtre une source d’inspiration Ă  l’occasion d’un dĂ©cĂšs. PoĂšme de MĂšre Aline AimĂ©e. Extrait de Textes non bibliques sur la amour qui m’attendCe qui se passera de l’autre cĂŽtĂ©quand tout pour moiaura basculĂ© dans l’éternitĂ©,je ne le sais crois, je crois seulementqu’un AMOUR m’ sais pourtant qu’alors il me faudra faire,pauvre et sans poids,le bilan de ne pensez pas que je crois, je crois tellementqu’un AMOUR m’attend !Ne me parlez pas des gloires et louanges des ne me dites rien non plus des ce que Je peux, c’est croire,croire obstinĂ©ment qu’un AMOUR m’ mon heure est si proche et que dire ?Oh ! mais que j’ai cru, je le croirai plus fort au pas de la vers un AMOUR que je marche en m’en allant ;C’est dans un AMOUR que je descends je meurs, ne pleurez pas ;c’est un AMOUR qui m’ j’ai peur, et pourquoi pas ?rappelez-moi simplement qu’un AMOUR, un AMOUR m’ va m’ouvrir tout entiĂšreĂ  sa joie, Ă  sa PĂšre, je viens Ă  Toidans le vent,dont on ne sait ni d’oĂč il vient ni oĂč il vavers ton AMOUR,ton AMOUR qui m’attend. Consultez notre page TĂ©moignages , oĂč vous trouverez beaucoup de poĂšmes, de messages d’adieu, de tĂ©moignages de personnes qui ont vĂ©cues un deuil. C’est en ce jour de tristesse absolue et plein d’émotions,Qu’au nom de ses proches et ĂȘtres aimĂ©s,Nous tĂącherons d’honorer la mĂ©moire de François Grosjean par ces quelques mots
Notre vision est certes celle de ses petits-enfants,Mais je reste convaincue qu’elle est rĂ©vĂ©latrice de la gĂ©nĂ©rositĂ© qui rĂ©gnait dans le for intĂ©rieur de son Ăąme et que nous avons tous eu la chance de connaĂźtre. La gloire de mon grand-pĂšre ».Voici le titre que je choisirais si j’étais amenĂ©e Ă  Ă©crire un roman biographique sur notre titre du premier chapitre ? D’emblĂ©e, je l’intitulerais Mon PapĂ©, ce hĂ©ros ».Tout homme digne de l’estime publique, de la gloire, par sa force de caractĂšre, son gĂ©nie et son dĂ©vouement, est un hĂ©ros. Il est Ă©vident que notre grand-pĂšre, homme humble, respectueux et digne, ne se considĂ©rait certainement pas comme tel. Mais toute sa vie nous a toujours semblĂ© ĂȘtre un roman voire un film. Son enfance, le voyage vers l’AlgĂ©rie pendant la guerre, les Ă©vĂšnements d’Alger, le retour Ă  Marseille avec sa femme et ses deux filles de mĂȘme pas cinq ans. Pour une vie d’homme, c’est dĂ©jĂ  traverser un bon bout de l’histoire. D’oĂč, certainement, en partie, son goĂ»t pour celle avec un grand H. Mais ces histoires il aimait surtout les raconter. Et avec talent la mise en situation, du drame, la touche d’ plus belle histoire nous semble malgrĂ© tout avoir trait Ă  tout Ă  fait autre chose. Une vie menĂ©e pratiquement avec l’exigence d’avoir la pĂȘche au jour le jour. C’est ce qui frappe finalement tout le monde, un optimisme presque viscĂ©ral, peut-ĂȘtre pas toujours sur l’état du monde, mais dans son quotidien c’est sans doute quelque chose qu’il a essayĂ© de avait le goĂ»t des choses simples, des petits plaisirs, sachant ĂȘtre bon vivant d’un cĂŽtĂ©, et en bon comptable rĂ©glant certains aspects de sa vie au millimĂštre de l’autre. A l’image de ces fameux comptes du dimanche entretenus l’aprĂšs-midi, au pic des heures de la digestion. Il a aimĂ© beaucoup de choses. Entre autre ces fameux calissons d’Aix en Provence dont la derniĂšre boĂźte lui a Ă©tĂ© offerte par les infirmiĂšres qui s’occupaient de n’y Ă©tions pas, mais sans doute s’est-il efforcĂ© de rendre les sĂ©ances de soins plus agrĂ©ables. Jusqu’au bout, il aura gardĂ© un goĂ»t pour la tout hĂ©ros, il avait plein d’ennemis. Mais son pire ennemi reste LE POIVRON, et par extension pas mal de diffĂ©rents lĂ©gumes mĂ©diterranĂ©ens aubergines, artichauts, olives, tomates crues mais pas cuites, oignons cuits mais pas cru. Paradoxal ce pied-noir !Ce hĂ©ros dont on parle, ce n’est pas celui des films d’action amĂ©ricains, mĂȘme s’ils les affectionnaient particuliĂšrement. C’est celui qui aura Ă©voluĂ© aux cĂŽtĂ©s de l’hĂ©roĂŻne. Nous l’appelons rendu visite Ă  mes grands-parents au mois de septembre de cette maintes reprises, j’avais mentionnĂ© mon envie incessante de redĂ©couvrir les saveurs du Sud-Ouest. Papi sĂ©lectionna donc soigneusement un restaurant Place Saint en arpentant les rues de Toulouse au cĂŽtĂ© de Mamie et Papi qui se tenaient par la main, je remarquai certains passants peut-ĂȘtre curieux de voir les regards tendres qu’ils s’ fus envahie d’un sentiment de fiertĂ© et rĂ©pondais intĂ©rieurement aux passants Oui, ce sont mes grands-parents, ceux-ci qui nous ont donnĂ© une vĂ©ritable seconde Ă©ducation et qui nous ont permis, Ă  Adrien et moi, de nourrir et d’attiser notre curiositĂ© sur la complexitĂ© du monde et sur son donc peut-ĂȘtre lui ce PapĂ© notre hĂ©ros, c’est celui qui nous a emplit de joie Ă  tant de diffĂ©rents moments. Aujourd’hui Ă©videmment, c’est avec un sentiment de tristesse que sa prĂ©sence raisonne. Mais nous pensons qu’il aurait prĂ©fĂ©rĂ© qu’on se souvienne de lui avec espoir, lĂ©gĂšretĂ© et bonne humeur. Il nous a maintes fois racontĂ© cette blague, anecdote, ce qu’il aurait entendu dans le port de Marseille. Un apprenti venait certainement de commettre une erreur. Son supĂ©rieur, lui aurait dit Oh Garry, un estropiĂ© et toi ça fait deux estropiĂ©s. » Il avait l’art de raconter ces petites choses avec beaucoup d’ et Adrien C’est en ce jour de tristesse absolue et plein d’émotions,Qu’au nom de ses proches et ĂȘtres aimĂ©s,Nous tĂącherons d’honorer la mĂ©moire de François Grosjean par ces quelques mots
Notre vision est certes celle de ses petits-enfants,Mais je reste convaincue qu’elle est rĂ©vĂ©latrice de la gĂ©nĂ©rositĂ© qui rĂ©gnait dans le for intĂ©rieur de son Ăąme et que nous avons tous eu la chance de connaĂźtre. La gloire de mon grand-pĂšre ».Voici le titre que je choisirais si j’étais amenĂ©e Ă  Ă©crire un roman biographique sur notre titre du premier chapitre ? D’emblĂ©e, je l’intitulerais Mon PapĂ©, ce hĂ©ros ».Tout homme digne de l’estime publique, de la gloire, par sa force de caractĂšre, son gĂ©nie et son dĂ©vouement, est un hĂ©ros. Il est Ă©vident que notre grand-pĂšre, homme humble, respectueux et digne, ne se considĂ©rait certainement pas comme tel. Mais toute sa vie nous a toujours semblĂ© ĂȘtre un roman voire un film. Son enfance, le voyage vers l’AlgĂ©rie pendant la guerre, les Ă©vĂšnements d’Alger, le retour Ă  Marseille avec sa femme et ses deux filles de mĂȘme pas cinq ans. Pour une vie d’homme, c’est dĂ©jĂ  traverser un bon bout de l’histoire. D’oĂč, certainement, en partie, son goĂ»t pour celle avec un grand H. Mais ces histoires il aimait surtout les raconter. Et avec talent la mise en situation, du drame, la touche d’ plus belle histoire nous semble malgrĂ© tout avoir trait Ă  tout Ă  fait autre chose. Une vie menĂ©e pratiquement avec l’exigence d’avoir la pĂȘche au jour le jour. C’est ce qui frappe finalement tout le monde, un optimisme presque viscĂ©ral, peut-ĂȘtre pas toujours sur l’état du monde, mais dans son quotidien c’est sans doute quelque chose qu’il a essayĂ© de avait le goĂ»t des choses simples, des petits plaisirs, sachant ĂȘtre bon vivant d’un cĂŽtĂ©, et en bon comptable rĂ©glant certains aspects de sa vie au millimĂštre de l’autre. A l’image de ces fameux comptes du dimanche entretenus l’aprĂšs-midi, au pic des heures de la digestion. Il a aimĂ© beaucoup de choses. Entre autre ces fameux calissons d’Aix en Provence dont la derniĂšre boĂźte lui a Ă©tĂ© offerte par les infirmiĂšres qui s’occupaient de n’y Ă©tions pas, mais sans doute s’est-il efforcĂ© de rendre les sĂ©ances de soins plus agrĂ©ables. Jusqu’au bout, il aura gardĂ© un goĂ»t pour la tout hĂ©ros, il avait plein d’ennemis. Mais son pire ennemi reste LE POIVRON, et par extension pas mal de diffĂ©rents lĂ©gumes mĂ©diterranĂ©ens aubergines, artichauts, olives, tomates crues mais pas cuites, oignons cuits mais pas cru. Paradoxal ce pied-noir !Ce hĂ©ros dont on parle, ce n’est pas celui des films d’action amĂ©ricains, mĂȘme s’ils les affectionnaient particuliĂšrement. C’est celui qui aura Ă©voluĂ© aux cĂŽtĂ©s de l’hĂ©roĂŻne. Nous l’appelons rendu visite Ă  mes grands-parents au mois de septembre de cette maintes reprises, j’avais mentionnĂ© mon envie incessante de redĂ©couvrir les saveurs du Sud-Ouest. Papi sĂ©lectionna donc soigneusement un restaurant Place Saint en arpentant les rues de Toulouse au cĂŽtĂ© de Mamie et Papi qui se tenaient par la main, je remarquai certains passants peut-ĂȘtre curieux de voir les regards tendres qu’ils s’ fus envahie d’un sentiment de fiertĂ© et rĂ©pondais intĂ©rieurement aux passants Oui, ce sont mes grands-parents, ceux-ci qui nous ont donnĂ© une vĂ©ritable seconde Ă©ducation et qui nous ont permis, Ă  Adrien et moi, de nourrir et d’attiser notre curiositĂ© sur la complexitĂ© du monde et sur son donc peut-ĂȘtre lui ce PapĂ© notre hĂ©ros, c’est celui qui nous a emplit de joie Ă  tant de diffĂ©rents moments. Aujourd’hui Ă©videmment, c’est avec un sentiment de tristesse que sa prĂ©sence raisonne. Mais nous pensons qu’il aurait prĂ©fĂ©rĂ© qu’on se souvienne de lui avec espoir, lĂ©gĂšretĂ© et bonne humeur. Il nous a maintes fois racontĂ© cette blague, anecdote, ce qu’il aurait entendu dans le port de Marseille. Un apprenti venait certainement de commettre une erreur. Son supĂ©rieur, lui aurait dit Oh Garry, un estropiĂ© et toi ça fait deux estropiĂ©s. » Il avait l’art de raconter ces petites choses avec beaucoup d’ et Adrien Eloge funĂšbre, dernier hommage Ă  lire lors des obsĂšques de votre mariHier soir, mon cher François, je me suis dĂ©cidĂ©e Ă  t’écrire ce dernier si nos enfants, amis, famille ici prĂ©sents savent comme tu m’as fait la vie belle, il est important pour moi aujourd’hui de leur dire Ă  quel t’ai rencontrĂ© lorsque tu avais 18 ans, une masse de cheveux bruns, un corps maigre d’adolescent et le visage lisse de la jeunesse. Tu m’as quittĂ© il y a 5 jours Ă  82 ans, une masse de cheveux blancs, un corps toujours vaillant et des rides que je ne voyais pas. Pendant plus de soixante ans tu as Ă©tĂ© l’amour de ma vie et tu le savais, tu le resteras courage dans le travail a fait de toi un directeur respectĂ©, ton sens du devoir et ta tendresse ont fait de toi un pĂšre aimĂ©, ta joie de vivre et ton amour un Ă©poux est heureux que tu te sois endormi pour ne plus jamais t’éveiller, la souffrance Ă©vitĂ©e me mets du baume au me laisse aller Ă  Ă©voquer ton premier tournoi de tennis gagnĂ© quelle fiertĂ© !, la naissance de notre petite Isabelle quelle Ă©motion !, celle des jumeaux quelle surprise !, le jour de notre mariage quels fous rire ! 
 et c’est Ă©trangement du bonheur qui m’envahit un manque que tu laisses dans mon existence ne sera jamais comblĂ©, mais rien ni personne ne m’îtera les souvenirs heureux qui habitent mon cƓur Ă  jamais. Je sais que tu es lĂ , mon François, et que tu veilleras sur en paix, je t’ notre page TĂ©moignages , oĂč vous trouverez beaucoup de poĂšmes, de messages d’adieu, de tĂ©moignages de personnes qui ont vĂ©cues un deuil. Eloge funĂšbre Ă  ma tante femme n’avait pas de frĂšres et soeurs, son mari Ă©tait dĂ©cĂ©dĂ© depuis longtemps. Elle n’a pas eu d’enfants et, nous ses neveux et petits neveux Ă©tions sa seule famille. Elle Ă©tait en maison de retraite dans un lit et y est restĂ©e trĂšs longtemps mais elle ne s’est jamais plainte, elle souriait toujours. Une personne formidable. Elle ne voyait presque plus, mangeait peu, ne bougeait plus enfin
. dur dur, mais quel courage exemplaire, jamais je ne l’oublierai. » Le jardin de ce monde ne fleurit que pour un temps,Et le jour est venu pour nous, et en ce lieu, de rendre un ultime hommage Ă  cette personne formidable que tu Ă©tais et que tu es, parler au prĂ©sent, car tu es et resteras dans nos cƓurs, jusqu’au jour oĂč nous devrons Ă  notre tour rendre le dernier ne suis pas une personne qui livre ses sentiments facilement; mais il Ă©tait un devoir pour moi d’écrire ces mots, comme il Ă©tait un devoir d’aller te rendre visite tous les dimanches Ă  la maison de retraite et de te faire ne serait-ce qu’un simple sourire. Je voyais alors dans tes yeux cette lueur, et tu me souriais Ă  ton tour. Il n’y avait que peu de paroles, mais les sentiments Ă©taient bien prĂ©sents, des sentiments d’affection, des sentiments de joie, comme de accoutrement aujourd’hui sort des conventions et des coutumes habituelles. Je dĂ©sirais symboliser cette dualitĂ© des sentiments , oĂč s’entremĂȘlent le noir symbole de perte, et ce blanc symbole de dĂ©livrance et de oui, tu es une personne qui nous est chĂšre, et tu nous manqueras. Toi, qui a toujours su Ă©couter, qui a toujours souris, mĂȘme lorsque les moments Ă©taient difficiles. Jamais tu ne t’es plainte, jamais je ne t’ai vue de mauvaise humeur ; et en cela tu es un exemple pour nous tous, nous pauvres hommes qui nous nous plaignons sans cesse, pour un rien. Les derniers moments ont Ă©tĂ© difficiles ; te voir sourire lĂ , dans ce lit m’a donnĂ© une vĂ©ritable leçon de vie. Et je ne l’oublierai n’es pas morte, tu as simplement arrĂȘtĂ© de vivre lorsque tu n’eus plus ton ange, la chose simplement d’elle- mĂȘme arriva, comme la nuit se fait lorsque le jour s’en va. DĂ©livrance, enfin, on te rendait ta libertĂ©, toi qui ne demandais qu’à partir, rejoindre tes proches, et Dieu, Dieu Ă  qui tu as vouĂ© une grande partie de ta vie, que tu as tant vas dĂ©sormais rejoindre la lumiĂšre et l’éternitĂ©, car oui, un jour une personne qui m’est chĂšre m’a dit que l’on ne partait pas tout de suite, que l’on restait quelques temps avant le grand voyage. Ainsi je me plais Ă  m’imaginer que tu es lĂ , auprĂšs de nous et que tu vois Ă  quel point tu es une personne prĂ©cieuse pour nous te remercie pour ce que tu es, une personne juste, attentionnĂ©e, gĂ©nĂ©reuse, gentille
et j’en passe..Ton altruisme m’a Ă©bloui; tu vivais pour les autres plus que pour mort n’est pas l’obscuritĂ©. C’est une lampe qui s’éteint car le jour se lĂšveNe pleurons pas de t’avoir perdue, mais rĂ©jouissons-nous de t’avoir connue
Ainsi je ne te dis pas au revoir, mais Ă  voyage Ă  toi. Texte dĂ©cĂšs, de Jacques PrĂ©vert Ă  lire lors d’une oraison vie n’a pas d’ñgeLa vraie jeunesse ne s’use a beau l’appeler souvenir,On a beau dire qu’elle disparaĂźt,On a beau dire et vouloir dire que tout s’en va,Tout ce qui est vrai reste la vĂ©ritĂ© est laide,C’est une bien fĂącheuse la vĂ©ritĂ© est belle, rien ne ternit son gens trĂšs ĂągĂ©s remontent en enfanceEt leur cƓur bat lĂ  oĂč il n’y a pas d’autrefois. Texte dĂ©cĂšs, de Jacques PrĂ©vert Ă  lire lors d’une oraison vie n’a pas d’ñgeLa vraie jeunesse ne s’use a beau l’appeler souvenir,On a beau dire qu’elle disparaĂźt,On a beau dire et vouloir dire que tout s’en va,Tout ce qui est vrai reste la vĂ©ritĂ© est laide,C’est une bien fĂącheuse la vĂ©ritĂ© est belle, rien ne ternit son gens trĂšs ĂągĂ©s remontent en enfanceEt leur cƓur bat lĂ  oĂč il n’y a pas d’autrefois. Le soleil s’est couchĂ© ce soir dans les viendra l’orage, et le soir, et la nuit ;Puis l’aube, et ses clartĂ©s de vapeurs obstruĂ©es ;Puis les nuits. Puis les jours, pas du temps qui s’enfuit. Tous ces jours passeront ; ils passeront en fouleSur la face des mers, sur la face des monts,Sur les fleuves d’argent, sur les forĂȘts oĂč rouleComme un hymne confus des morts que nous aimons. Et la face des eaux. et le front des montagnes,RidĂ©s et non vieillis, et les bois toujours vertsS’iront rajeunissant ; le fleuve des campagnesPrendra sans cesse aux monts le flot qu’il donne aux mers. Mais moi, sous chaque jour courbant plus bas ma tĂȘte,Je passe, et, refroidi sous ce soleil joyeux,Je m’en irai bientĂŽt, au milieu de la fĂȘte,Sans que rien manque au monde, immense et radieux ! Eloge funĂšbre Ă  lire en hommage Ă  une personne disparue pendant ses Jean, j’ai vu un ciel nouveau et une terre nouvelle, car lepremier ciel et la premiĂšre terre avaient disparu, et il n’y avaitplus de j’ai vu descendre du ciel, d’auprĂšs de Dieu, la citĂ© sainte, la JĂ©rusalem nouvelle, toute prĂȘte, comme une fiancĂ©e parĂ©e pour son j’ai entendu la voix puissante qui venait du TrĂŽne divin ; elle disait Voici la demeure de Dieu avec les hommes ; il demeurera avec eux, et ils seront son peuple, Dieu lui-mĂȘme sera avec essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort n’existera plus ; et il n’y aura plus de pleurs, de cris, ni de tristesse ; car la premiĂšre crĂ©ation aura disparu ».Alors celui qui siĂ©geait sur le TrĂŽne dĂ©clara 
 Voici que je fais toutes choses nouvelles. Je suis l’alpha et l’omega, le commencement et la je donnerai gratuitement Ă  celui qui a soif l’eau de la source de vie tel sera l’hĂ©ritage rĂ©servĂ© au vainqueur ;Je serai son Dieu, et il sera mon fils ».Apocalypse de Saint-Jean XXI, 1-5a et 6b-7 Oraison funĂšbre sous forme de JĂ©sus-Christ, ta MĂšre Ă©tait prĂ©sente au pied de ta croix, et c’était son unique enfant qu’elle perdait
 Souviens-toi de sa souffrance et regarde la nĂŽtre viens avec ta MĂšre nous donner du courage. Souviens-toi de son espĂ©rance et accueille la nĂŽtre viens avec ta MĂšre Ă  la rencontre de PrĂ©nom de l’enfant.Toute la joie que PrĂ©nom de l’enfant nous a donnĂ©e, dĂ©couvre-la !Tous les projets que nous avions formĂ©s, rends-les plus beaux ! Et toutes les peines que nous avons portĂ©es, qu’elles soient oubliĂ©es !Car notre amour ne peut vouloir qu’une chose la vie que PrĂ©nom de l’enfant aura eue si courte, qu’elle continue en toi, en Dieu, prĂšs de ta MĂšre
Qu’à sa priĂšre et par ta grĂące nous trouvions la force de vivre, pour un jour nous retrouver tous en toi, avec PrĂ©nom de l’enfant en Dieu, prĂšs de ta MĂšre
 Amen ! Ce que la vie m’a apprisJe devrais plutĂŽt tenter de dire ce que les rencontres, les sĂ©parations, les dĂ©couvertes, les Ă©blouissements comme les dĂ©sespĂ©rances m’ont appris dans le sens de me dĂ©couvrir, de me construire, d’influencer le dĂ©roulement de mon ainsi appris que la vie n’est faite que de rencontres et de sĂ©parations et qu’il nous appartient de les vivre en acceptant de nous responsabiliser face Ă  appris encore qu’il y a toujours une part d’imprĂ©visible dans le dĂ©roulement des jours et donc qu’il m’appartenait de savoir accueillir les cadeaux inouĂŻs ou les blessures qui peuvent surgir dans l’immensitĂ© d’un appris bien sĂ»r Ă  vivre au prĂ©sent, Ă  entrer de plain-pied dans l’instant, Ă  ne pas rester enfermĂ© dans mon passĂ© ou me laisser envahir par des projections sur un futur trop appris tardivement Ă  remercier, chaque matin, la Vie d’ĂȘtre prĂ©sente en moi et autour de moi, Ă  l’honorer chaque fois que cela m’est possible, Ă  la respecter en toute occasion, Ă  la dynamiser avec mes ressources et mes appris difficilement Ă  m’aimer, non d’un amour narcissique ou Ă©gocentrique mĂȘme si la tentation Ă©tait grande mais d’un amour de bienveillance, de respect et de appris avec beaucoup de tĂątonnements Ă  me respecter en osant dire non quand je suis confrontĂ© Ă  des demandes qui ne correspondent pas Ă  mes possibles ou Ă  ma appris avec enthousiasme que la beautĂ© est partout, dans le vol d’un oiseau, comme dans le geste d’un enfant pour tenter de capter le vol d’un papillon ou encore dans le sourire d’un vieillard qui croise mon appris patiemment que nul ne sait Ă  l’avance la durĂ©e de vie d’un amour et que toute relation amoureuse est une relation Ă  risques. Des risques que j’ai appris douloureusement que je n’avais pas assez pris de temps pour regarder mes enfants quand ils Ă©taient enfants, que j’aurais dĂ» savoir jouer et rire avec eux, plus souvent et surtout chaque fois qu’ ils me sollicitaient ; que je n’avais pas su toujours les entendre et les accueillir dans leurs attentes profondes et surtout que j’avais trop souvent confondu mon amour pour eux avec quelques unes de mes peurs, tant je voulais le meilleur pour eux, tant je dĂ©sirais les protĂ©ger des risques que j’imaginais de la appris avec beaucoup de surprise que le temps s’accĂ©lĂ©rait en vieillissant et qu’il Ă©tait important non pas d’ajouter des annĂ©es Ă  la vie, mais de la vie aux appris malgrĂ© moi que je savais beaucoup de choses avec ma tĂȘte et peu de choses avec mon appris que je pouvais oser demander, si je prenais le risque de la rĂ©ponse de l’autre, aussi frustrante ou dĂ©cevante qu’elle puisse ĂȘtre, que je pouvais recevoir sans me sentir obligĂ© de rendre, que je pouvais donner sans envahir l’autre et refuser sans le appris sans mĂȘme le vouloir, que j’avais des besoins et qu’il ne fallait pas les confondre avec des appris avec soulagement que je pouvais dĂ©sapprendre tout l’inutile dont je me suis encombrĂ© pendant des appris joyeusement Ă  planter des arbres. C’est le cadeau le plus vivant que je peux faire jusqu’à ma mort Ă  cette planĂšte merveilleuse qui a accueilli mes ancĂȘtres et surtout mes appris doucement Ă  recevoir le silence et Ă  mĂ©diter quelques minutes chaque jour pour laisser aux vibrations de l’univers la possibilitĂ© de me rejoindre et de m’apprivoiser encore un j’ai appris beaucoup et pourtant je cherche encore l’essentiel. Oraison funĂ©bre de Philippe Bouvard Ă  une de ses maĂźtresses Ma puce n’est plus. Ma copine est morte. Si tu m’entends – ce qui serait surprenant eu Ă©gard Ă  la surditĂ© qui t’avait frappĂ©e ces derniĂšres annĂ©es – tu dois te demander pourquoi je suis ton Bossuet. Car parmi tes ex, il y avait de la concurrence. Mais c’est moi qu’on a tirĂ© au sort. Dans le bataillon de tes amants, j’aurais Ă©tĂ© un passant de la passion, un stagiaire de la bagatelle, un surnumĂ©raire du dĂ©duit, n’ayant eu droit qu’à une seule nuit en ta torride compagnie. Peut-ĂȘtre ne t’en souvenais-tu pas et ne m’aurais-tu pas reconnu dans la rue. Moi, je n’ai oubliĂ© aucun dĂ©tail. De notre rencontre devant un night-club oĂč tu avais tellement bu que tu ne savais plus oĂč tu avais garĂ© ta voiture, de l’offre – aussitĂŽt acceptĂ©e – de te raccompagner chez toi avec la mienne, du dernier verre que j’ai bu sur tes lĂšvres chaudes et de ta gentillesse le lendemain matin, lorsque aprĂšs une ultime Ă©treinte, tu m’as dit suavement aprĂšs m’avoir appelĂ© un taxi et alors que je te demandais quand nous nous reverrions SĂ»rement un jour, le monde est si petit.» HĂ©las ! je ne t’ai retrouvĂ©e que pour te perdre. C’est la vie. Texte dĂ©cĂšs de Bhagavad-Gita Ă  lire lors d’une cĂ©rĂ©monie d’ je n’ai cessĂ© d’exister, ni toi et ni ces nous tous, Ă  l’avenir, continuerons d’ Soi passe d’un corps Ă  l’autre AprĂšs la mort du corps, il s’incarne en un autre. Tout comme l’homme rejette des vĂȘtements usagĂ©sPour revĂȘtir des neufs,Le Soi, inchangĂ©, abandonne un corpsPour entrer dans un corps nouveau. Tous les corps sont ainsi pĂ©nĂ©trĂ©sPar le Soi impĂ©rissable,Le Soi Ă©ternel, le Soi indestructible,L’inĂ©puisable, le Soi sans fin. Seuls les corps sont pĂ©rissables,Tandis que lui, le Soi, qui y demeure,Est Ă©ternel, indestructible, donc sans peur, Arjuna. Texte dĂ©cĂšs, de Daniel Balavoine Ă  lire pendant une cĂ©rĂ©monie d’ foule denseAutour d’un corps s’endormantDouceur immensePour le dĂ©part d’un parentCalmementPeint aux couleurs de l’artificeDes bleus lisses et roses et blancsEt lentementVisages tendres sur l’herbe glissentSe sourient en chuchotantEt sans le moindre tourmentIls fĂȘtent mon enterrementCendres folles et s’envolentSous les yeux pĂąles et contentsEt s’unissent aux luciolesPour vivre un dernier instantEt Ă  jamaisRestent en suspensEt j’ai souvent souhaitĂ©Partir avant les miensPour ne pas hĂ©riterDe leur flamme qui s’éteintEt m’en allerEn gardant le sentimentQu’ils vivront Ă©ternellementEt simplementQu’ils fassent que la nuit soit claireComme aux feux de la Saint-JeanQue leurs yeux soient grands ouvertsPour fĂȘter mon enterrementPĂšre et mĂšre, soeurs et frĂšresJe vous aime puissammentN’adresser aucune priĂšreOĂč que j’aille je vous attendsLa poussiĂšreVit hors du tempsIl faut rester Ă  la lumiĂšreDansez, buvez en me berçantQue je vous aime en m’endormant Je vivrai par-delĂ  la mort,Je chanterai Ă  vos oreillesMĂȘme aprĂšs avoir Ă©tĂ© emportĂ©,Par la grande vague de la merJusqu’au plus profond de l’ m’assiĂ©rai Ă  votre tableBien que mon corps paraisse absent,Je vous accompagnerai dans vos champs,Esprit m’installerai avec vous devant l’ñtre,HĂŽte invisible mort ne change que les masquesQui recouvrent nos forestier restera forestier,Le laboureur, laboureur,Et celui qui a lancĂ© sa chanson au ventLa chantera aussi aux sphĂšres mouvantes. Pour tes funĂ©railles notre ami, nous voulons tous ensemble, ta famille, tes amis ainsi que tes collĂšgues de travaille te dire au revoir et adieu, Ă  mort t’a apportĂ© pour ton dernier grand peine est immense. Le dĂ©cĂšs d’un ĂȘtre proche est une vraie douleur au cƓur et Ă  l’ nous voulons t’offrir de joyeuses funĂ©railles. Ta mort, ton enterrement ne sont pas une fin de vie
 Non, ton dĂ©part est le dĂ©but d’une nouvelle vie dans un autre monde
 Un mode fait d’amour et de bonheur
 Certains l’appellent le lire ce discours d’enterrement, ce discours Ă©crit pour un ĂȘtre proche sans que des larmes d’amour et de peine nous montent aux yeux ?Comment lire ce texte d’amour pour un ĂȘtre cher dĂ©cĂ©dĂ© et pourtant tellement vivant dans nos cƓur et dans nos Ă©tais pour nos un modĂšle de vie
 Un exemple Ă  suivre. Ta mort est pour nous une leçon de tes amies et tous tes amis sont lĂ  pour toi. Ils prĂ©sentent leurs sincĂšres condolĂ©ances Ă  tes parents, frĂšres et sƓurs et bien sĂ»r Ă  tes tristesse de tes enfants tĂ©moigne que tu Ă©tais le meilleur des pĂšres, le meilleur des papas meilleure des mamans, meilleure des mĂšres, mamis, papys
 Ils te disent papa nous t’aimons, papa nous te t’oublierons jamais maman, papi, mamie
La beautĂ© du deuil de ta famille nous enseigne que tu Ă©tais un ĂȘtre spirituel et que le passage de la vie Ă  la mort n’est qu’un voyage vers un monde d’amour. Le cercueil et l’enterrement d’un ami, d’un proche sont des moments de tristesse et de joie pour se souvenir de la beautĂ© d’un l’heure de ta mort, il nous reste des milliers de souvenirs de toi pour alimenter chacun de nos jours de vie
 jusqu’au jour de notre en paix
 La vie ne dure qu’un instant
 L’amour pour les dĂ©funts est ne t’oublierons pas
.Puisqu’il faut bien mourir un jour, nous devons apprendre Ă  vivre comme toi, notre frĂšre sƓur, notre pĂšre mĂšre notre repĂšre de les formules de condolĂ©ances, les peines partagĂ©es, le deuil qui commence inscrivent Ă  jamais des pensĂ©es pour toi en nos cƓurs pour que notre souvenir de toi ne meure l’Artiste
 Repose en Paix
 Nous t’aimons Ă  jamais
 PoĂšme dĂ©diĂ© Ă  un frĂšre parti rejoindre le ciel beaucoup trop tĂŽt de Carole mois de dĂ©cembre mille neuf cent soixante septLa vie pour toi s’est arrĂȘtĂ©e brutalement d’un coup netSur une route normale un jour banalUn accident est si vite arrivĂ© 
BrusquementLes ailes de ton moulin ont cessĂ© de tournerBrusquementTes yeux se sont fermĂ©sLes larmes le jour, les larmes la nuitRestent dans ma mĂ©moire enfouieIl me reste du temps pour te direQue les choses auraient pu ĂȘtre diffĂ©rentesTu aurais Ă©tĂ© mon grand frĂšreJ’aurai pu me confier les joursOĂč j’aurais pu douterMais qui peut dire l’avenirEt ce qui se serait passĂ©Si tu avais existé . Pour Peter, cĂ©tait il y a un mois, chez toi ma marraine, ma me lĂšve, je vous embrasse Peter, je t’embrasse, tu me raccompagnes, Ă©ternellement suivi d’un sors, je quitte cette belle demuere sous le soilei d’automne, entourĂ©e de grands arbres aux couleurs me retourne une fois et puis encore, et tu es toujours lĂ  sous le porche, les rayons chauds t’ me souris, me lançant un » Ă  bientĂŽt » de la faisait beau, calme et tu Ă©tais bien, avec cette force si intense qui est marche, je m’éloigne en regardant les premiĂšres feuilles Ă©parses qui jonchent le sol et garderai toujours de toi cette image de sereine tante Jacqueline, toujours attentive, dont je redoutais parfois les remarques sĂ©vĂšres, tu resteras prĂ©sente dans ma Service AlloLeCiel vous accompagne dans toutes les dĂ©marches aprĂšs dĂ©cĂšs. Qui sommes nous ? EditĂ© par Testamento, le site AlloLeCiel a pour but d'aider le grand public Ă  mieux anticiper la fin de vie, et faire face Ă  la disparition d'un proche. Suivez-nous alpha D artiste Diane Tell titre J'pense Ă  toi comme je t'aime Les paroles de la chanson J'pense Ă  toi comme je t'aime »Diane Tell On n’s’est pas rendu compteOn s’donnait rendez-vousTu me disais raconteEt moi j’dĂ©voilais toutMa vie ma vie mes aventuresMa nostalgie mon clair obscurOn s’faisait un p’tit baiser sur la joueOn s’aimait d’amitiĂ© voilĂ  toutOn n’s’est pas rendu compteAu cours d’nos rendez-vousPour que rien n’interrompeNos rĂȘves les plus fousOn s’amusait heures vagabondesA l’amitiĂ© qui dĂ©vergondeOn s’faisait de vrais baisers sur la boucheAmoureuse amitiĂ© rien de loucheJ’pense Ă  toi comme je t’aimeJ’pense Ă  toi comme je t’aimeTriche pas j’veux pas avec moiJ’pense Ă  toi comme je t’aimeDepuis que dans nos restos cosyOn s’aime on s’aime on s’aimeOn n’s’est pas rendu compteMalgrĂ© nos rendez-vousQu’à la fin d’ce beau conteOn souffrait dessus dessousNos cƓurs blessĂ©s nos solitudesSe sont croisĂ©s mĂȘme latitudeAmitiĂ© qu’on savoure qu’on oublieJ’pense Ă  toi comme je t’aimeJ’pense Ă  toi comme je t’aimeTriche pas j’veux pas avec moiJ’pense Ă  toi comme je t’aimeDepuis que dans nos restos cosyOn s’aime on s’aime on s’aimeOn n’s’est pas rendu compteOn s’donnait rendez-vousTu m’disais raconte et moi j’dĂ©voilais toutMa vie ma vie mes aventuresMa nostalgie mon clair obscurFini les p’tits baisers sur la joueOn n’s’aime plus d’amitiĂ© voilĂ  toutOn n’s’est pas rendu compteOn s’donnait rendez-vous. Paroles de la chanson Penses Ă  moi par Milca J'ai beau tenter de vivre j'ai beau masquer les larmes de detresse qui me blesse j'ai beau fanter et rire j'ai beau souhaiter que le mal qui me blaisse disparaisse *passage en crĂ©ole* Souffrire ne silence, survivre j'ai beau compter ce qu'il en reste quand s'en va l'amour puis le respect alors, toutes ses annĂ©es n'ont rien changer tu ne vaux pas mieux qu'un autre je l'ai compris il me faut me re-construire, recommencer mais pourquoi oooooon peux! penses Ă  moi, comme je penses Ă  toi aime moi, comme tu peux tu dois j'accepterai, d'aller au bout de toi penses Ă  moi, comme je penses Ă  toi me raccrocher Ă  l'image que j'avais de toi que ces erreurs je ne refferai plus j'ai beau me promettre ahahah de ne pas oublier ahahah mais comme souvent par amour on fait n'importe quoi penses Ă  moi, comme je penses Ă  toi aime moi, comme tu peux tu dois j'accepterai, d'aller au bout de toi penses Ă  moi, comme je penses Ă  toi Ă  toi, toutes mes annĂ©es qui sont passĂ©es plus de mots qu'on s'est gachĂ©s Ă  qui la faute il me faut tout re-construire, recommencer, encore penses Ă  moi, comme je penses Ă  toi aime moi, comme tu peux tu dois j'accepterai, d'aller au bout de toi penses Ă  moi, comme je penses Ă  toi penses Ă  moi oooooh comme je penses Ă  toi aime moi, comme tu peux tu dois j'accepterai, d'aller au bout de toi penses Ă  moi, comme je penses Ă  toi x2 l'essentiel En la prĂ©sence de leurs proches et du chanteur Francis Lalanne, Igor et Grichka Bogdanoff ont Ă©tĂ© inhumĂ©s ce mercredi au cimetiĂšre de Saint-Lary, leur village natal. DĂ©cĂ©dĂ©s du Covid Ă  six jours d'intervalle, Grichka le 28 dĂ©cembre et Igor le 3 janvier, Ies frĂšres Bogdanoff ont Ă©tĂ© inhumĂ©s ce mercredi 12 janvier au matin dans le petit cimetiĂšre de Saint-Lary, village gersois oĂč ils ont vu le jour le 29 aoĂ»t 1949. Lundi, des obsĂšques publiques avaient eu lieu Ă  l'Ă©glise de la Madeleine, Ă  Paris. "Ce sont des cĂ©lĂ©britĂ©s mondiales. C'Ă©tait des gens particuliĂšrement intelligents, largement plus que la moyenne", confie Bernard Cahuzac, le maire de Saint-Lary, en amont de l'inhumation. Peu avant 11 heures, une fois que tous les proches des deux dĂ©funts Ă©taient prĂ©sents, les deux cercueils en chĂȘne clair ont rejoint le bout de l'allĂ©e centrale du petit cimetiĂšre de Saint-Lary. Lieu mĂȘme oĂč repose la grand-mĂšre des frĂšres Bogdanoff. "C'Ă©tait deux personnes trĂšs attachantes, trĂšs gentilles, qui aidaient les autres" LĂ , plusieurs proches des dĂ©funts ont pris la parole Ă  tour de rĂŽle, avec Ă©motion, pour rendre un dernier hommage Ă  Igor et Grichka, Ă  l'image de la chanteuse Sasha Bogdanoff, l'une des filles d'Igor. Moment choisi Ă©galement par Francis Lalanne, pour entonner une chanson, son tube "Pense Ă  moi comme je t'aime", pour dire un dernier adieu, Ă  sa maniĂšre, aux frĂšres Bogdanoff. "MĂȘme si on a la chance d'avoir vĂ©cu des moments Ă  leurs cĂŽtĂ©s, on se dit qu'on n'en a pas eu assez. Ce ne sont pas des gens qu'on peut quitter facilement. Quand ils s'en vont, c'est une partie de nous qui part avec eux", avait-il dĂ©jĂ  dĂ©clarĂ© lundi lors des obsĂšques Ă  Paris, auprĂšs de nos confrĂšres du Parisien. A lire aussi ObsĂšques des jumeaux Bogdanoff Francis Lalanne assure avoir fait "le mĂȘme choix qu'eux" sur le vaccin "C'Ă©tait deux personnes trĂšs attachantes, trĂšs gentilles, qui aidaient les autres", glisse de son cĂŽtĂ© Alain Alban, ami proche des jumeaux, un temps batteur du groupe de rock des frĂšres Bogdanoff. "Je les ai vus tout petit. Je me souviens de leur grand-mĂšre. Elle avait une voiture dĂ©capotable et elle les prenait avec elle. Ils ne passaient pas inaperçu dans les rues d'Auch", relate enfin une habitante de Saint-Lary. Vers 12 heures, les cercueils d'Igor et Grichka ont finalement rejoint leur derniĂšre demeure aprĂšs avoir Ă©tĂ© installĂ©s dans deux caveaux communaux.

chanson pense Ă  moi comme je t aime